« Ils dorment de moins en moins, pas assez. Sans un repos de qualité, c’est toute la vie sociale qui est minée : problèmes de concentration, hypernervosité, mal-être physique. »
» Sans un sommeil suffisant et de qualité, c’est toute la vie sociale qui se trouve minée. Mal dormir entraîne des souffrances physiques, psychiques et sociales ainsi que des difficultés scolaires importantes. Pas d’enfance heureuse sans sommeil heureux. N’oublions jamais que c’est allongés, chaque nuit, que nos enfants grandissent, mémorisent, mûrissent leurs émotions. »
Un enfant devrait dormir »de dix heures par nuit entre 12 et 14 ans, et de neuf heures à 15 ans. »
« Ensuite, quand le sommeil se fait fuyant, interrompu, ou trop court, les risques d’obésité, de diabète, de maladies cardiovasculaires, de cancer, sans parler des accidents de la route, sont accrus. »
Voici un très bon article résumant les enjeux d’un bon sommeil : Le sommeil des enfants, un enjeu politique.