Une 1ère greffe d'utérus

Pour la première fois en France, un bébé est né après une greffe d’utérus.

C’est une grande première en France. Un bébé est né à la suite d’une greffe d’utérus dont avait bénéficié sa mère, ce mercredi 17 février à Paris. Ce type de greffe avait déjà permis des naissances dans d’autres pays.

La mère âgée de 36 ans, avait bénéficié en mars 2019 de la première greffe d’utérus française, avec l’utérus d’une donneuse vivante : sa mère âgée de 57 ans. Née sans utérus, la patiente greffée est atteinte du syndrome de Rokitansky, une pathologie qui touche une femme sur 4 500 à la naissance.

Cette grossesse constitue un espoir pour les patientes nées sans utérus ou celles auxquelles il a dû être enlevé (cancer).

Il y a eu autour de vingt naissances dans le monde, après greffe utérine. La première a eu lieu en Suède en 2014. La naissance, survenue un an après la transplantation. La donneuse vivante avait 61 ans.

Comment une femelle requin a-t-elle pu faire des bébés toute seule ?

Stupéfaction à l’aquarium de Townsville, en Australie, en 2016 : quatre requins-zèbres y sont nés, alors qu’aucun mâle n’y a nagé depuis trois ans !

Il n’y a aucune trace de chromosomes masculins chez ces bébés requins. Les femelles s’étaient donc nécessairement reproduites toutes seules, par un mode de reproduction appelé parthénogenèse indépendant de toute sexualité : les embryons sont simplement des clones de leur mère. La parthénogenèse est courante chez les plantes ou les bactéries, mais rare dans le monde animal et encore plus rare chez les vertébrés.

Extrait de Sciences&Vie

De l'eau sur la Lune !

Comme prévu, la Nasa vient bien d’annoncer la détection d’eau sur la Lune via le télescope à infrarouge aéroporté Sofia. La détection d’eau sur notre satellite n’est pas en soi une nouveauté mais cette fois-ci, c’est bien la confirmation solide que cette eau n’est pas limitée au fond de certains cratères lunaires, dans l’ombre, sous forme de glace. Elle pourrait être omniprésente à la surface de la Lune.

Article sur FuturaSciences

Toujours la libellule...

Gros plan des ailes d’une libellule en train de sécher, juste après l’émergence, la sortie de l’exuvie (“le cocon”) Photo de Kelly Rebar.